Energizing Tournament

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Cette prudence contraste avec le volontarisme militaire de plusieurs membres du Conseil [link widoczny dla zalogowanych] de sécurité, dont la France, qui compte sept ressortissants otages de groupes islamistes dans la région. "L'ONU ne peut se garante d'une opération militaire dont on ignore toujours les tenants et les aboutissants. [link widoczny dla zalogowanych] En cas d'échec, elle [link widoczny dla zalogowanych] serait la première à être pointée du doigt", souligne une source proche du dossier, qui rappelle les nombreuses questions encore en [link widoczny dla zalogowanych] suspens, citées dans le rapport : "La manière dont la force sera dirigée, entretenue, entra?née, équipée et financée."
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La semaine dernière, l'envoyé spécial de l'ONU pour le Sahel, , citant les délais nécessaires à [link widoczny dla zalogowanych] la mobilisation des troupes, à la [link widoczny dla zalogowanych] formation de l'armée malienne et à l'obtention des fonds nécessaires, avait exclu toute action avant septembre 2013, une fois passée la saison des pluies.
Début novembre, les pays membres de la Communauté économique des Etats d' de l'Ouest, puis de l', ont approuvé l'envoi dans le nord du Mali d'une force militaire internationale de 3 300 soldats pour une durée d'un an, soutenue sur le plan logistique par des pays occidentaux. [link widoczny dla zalogowanych] Il faudra sans l'ONU pour [link widoczny dla zalogowanych] les opérations initiales de combat, dont le co?t est estimé à près de 500 millions de dollars.
Les forces africaines impliquées dans toute action devront être "tenues pour responsables de leurs actes" et les lois humanitaires internationales, insiste-t-il. Mais avant d' d' drones et soldats sur le terrain afin d'en déloger les groupes islamistes és, "l'accent doit être mis sur un dialogue ", en particulier avec les [link widoczny dla zalogowanych] Touareg du Nord.
se fera à certaines conditions. Dans son rapport communiqué mercredi 28 novembre au Conseil de sécurité, le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, met en avant le risque de une telle opération "aggraver la situation humanitaire déjà extrêmement fragile et entra?ner de graves violations des droits de l'homme", et appelle les 15 pays membres, censés se le 10 décembre sur cette intervention, à la plus grande vigilance.
INUTILE D' LE SOUTIEN DE CASQUES BLEUS
Ban Ki-moon suggère que les pays membres y contribuent de manière volontaire ou bilatérale. Inutile d' le soutien de casques bleus. "L'ONU n'est pas la mieux placée pour répondre à la menace sécuritaire que créent des groupes terroristes", affirme le secrétaire général. L'idée de déployer une opération de maintien de la paix une fois achevées ces [link widoczny dla zalogowanych] opérations de combat n'est toutefois pas écartée. [link widoczny dla zalogowanych] En attendant, les Nations unies entendent leur présence à Bamako, en dépêchant dans un premier temps des experts des [link widoczny dla zalogowanych] droits de l'homme et un grand nombre d'observateurs.
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