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UNE MOD?LISATION EN 3D
De nombreux pays ont déjà répondu favorablement à l'appel de la Nouvelle-Zélande en restituant les têtes [url=http://www.suz1.co.jp/cgi-bin/board/honey.cgi/%3Fv%3D3PH6MEQK%25252B%25255B0%253Ecialis%253C/a%253E]www.mansmanifesto.com Motivat[/url] en leur possession, comme la , la Grande-, le , les , l', l' et l'. En 2002, le Parlement fran?ais a [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] voté à l'unanimité une proposition de [url=http://tsuruo.jp/cgi-def/admin/C-002/after/visit/main.pl?PAGE_NUM=1]www.vivid-host.com/barbour.ht[/url] loi, d'origine sénatoriale, qui [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] a permis au Musée de l'homme de Paris [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler[/url] de à l' la dépouille mortelle de , [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] la "Vénus hottentote".
La Nouvelle-Zélande mène depuis près de trente ans une campagne internationale pour le retour de restes humains emportés au fil des siècles par les colons européens. Après être longtemps resté sourd aux demandes de Wellington, en prétextant que les biens entreposés dans les musées nationaux étaient "inaliénables", Paris a adopté l'an dernier une loi spécifique "visant à la restitution par la France des têtes maories". "Pour [url=http://www.bankonco.com/hollister.php]hollister[/url] nous, tous élus confondus, c'est l'aboutissement d'un débat sur la reconnaissance [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] de la mémoire des restes humains", a dit la maire socialiste de Rouen, Valérie Fourneyron. En 2007, la [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]jordan pas cher[/url] ministre de la de l'époque, , avait refusé la restitution de la tête maorie, s'opposant à un vote du conseil municipal de Rouen. Son refus avait été confirmé par le tribunal administratif de Rouen. Mais son successeur, Frédéric Mitterrand, l'avait contredite et approuvé le vote de [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] la loi autorisant la restitution des restes conservés dans divers musées [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] fran?ais. "On ne construit pas une culture sur le trafic. On construit une culture sur le respect et sur l'échange", avait-il dit.
, lundi, à la Nouvelle-Zélande la première de la quinzaine de têtes maories qu'elle détient afin que son pays d'origine puisse l' avant de l' [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] selon les rites coutumiers. La restitution de la tête, qui est conservée depuis 1875 au Muséum d'histoire naturelle de Rouen (Seine-Maritime), fera l'objet d'une cérémonie traditionnelle à la mairie en présence de Rosemary Banks, ambassadrice de en France, de , co-directrice du musée Te Papa Ka?hautü de Wellington, et d'un "a?né maori", Te .
C'est l' Cook qui fut le premier, dans [url=http://bbs.koolboo.com/forum.php?mod=viewthread&tid=1700363]peuterey A Review Of The Send Out Cards MLM Opportunity[/url] les années 1770, à de Nouvelle-Zélande des têtes d'hommes maoris tatoués, rappelle Sébastien Minchin, directeur [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] du Muséum d'histoire naturelle de Rouen. Et c'est un certain "M. Drouet" [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] qui offrit en 1875 au musée rouennais celle qui sera rendue lundi à Wellington. Cette tête, qui fut exposée à Rouen jusqu'en 1996, sera bient?t remplacée par une modélisation en 3D. Les têtes seront dans un premier temps déposées au musée national Te Papa à Wellington, la capitale de la Nouvelle-Zélande, avant d'être ensuite rendues aux tribus concernées pour être enterrées selon les coutumes maories.