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Hu Jintao, le président de la République populaire de Chine, doit arriver à [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] Nice, aujourd’hui, en début d’après-midi. ? 17 heures, Nicolas Sarkozy l’attendra devant les grilles de la villa Masséna, sur la Promenade des Anglais. Les deux hommes d’?tat s’enfermeront ensuite pour un entretien bilatéral de deux heures. ? 19 heures, ces discussions au sommet ne marqueront qu’une brève pose. Hu Jintao et Nicolas Sarkozy doivent en effet se retrouver dès 19h30 pour un d?ner de travail dans un restaurant du Vieux-Nice. Dans la soirée, le président fran?ais prendra congès de son h?te chinois. Tandis que Nicolas Sarkozy reprendra l’avion, Hu Jintao s’installera au Negresco. Demain, avant de reprendre l’avion direction le Portugal, le président chinois se rendra sur le site de Schneider Electric à Carros. Mais d’autres patrons seront également présents pour un tour de table organisé par Christian Estrosi qui réunira notamment Louis Gallois, le p.-d.g. d’EADS, Philippe Varin, le patron de PSA, celui de [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] Virbac et le numéro 2 de Total. Le président chinois [url=http://www.ktbruce.co.uk/hollisteroutlet.php]hollister[/url] se fera d’ailleurs présenter les deux premiers véhicules hybrides diesel de Peugeot-Citro?n, la 3008 et la 508. La visite du président chinois, à Paris depuis hier et à partir de cet après-midi sur la C?te d’Azur, est largement placée sous le signe des relations économiques. L’Empire du Milieu est déjà bien présent dans les Alpes-Maritimes à travers les entreprises qui commercent avec lui mais aussi les touristes de plus en plus nombreux. Eux aussi ont cédé aux charmes de la « [url=http://www.bjsyls.cn/guestbook.asp]hollister[/url] French Riviera ».
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La longue marche des entreprises locales
Le cliché a la vie dure : pour les Chinois, la France est le pays du luxe et du plaisir de vivre. Aussi n’est-il guère surprenant que le président Hu Jintao ait choisi de faire un petit séjour sur la C?te d’Azur lors de sa visite d’état en France…Derrière l’image glamour – resto, palace, palmiers – qu’est-ce que les entreprises peuvent-elles bien attendre de la venue du n° 1 chinois? Nous avons posé la [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] question à des entrepreneurs azuréens [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] qui connaissent bien ce marché de 1,4 milliard d’individus…
Une usine 100 % Robertet à Pékin
Pour le Grassois Robertet, La Chine est déjà une vieille histoire : il y a dix ans, [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] il mettait un pied dans l’Empire du Milieu au travers d’une joint-venture avec une société chinoise. Depuis, le fabriquant de parfums et d’ar?mes alimentaires a franchi une [url=http://www.xmslhgxx.syn.cn/wygkcn_GuestBook.asp]abercrombi[/url] nouvelle étape. Il a investi dans une usine près de Pékin (80 salariés) dont il détient 100 % des parts.
« Nous sommes là-bas pour vendre nos produits [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] aux sociétés locales qui travaillent dans les cosmétiques et dans les ar?mes. Nous nous installons au plus près de nos clients », commente le président-directeur général du groupe, Philippe Maubert. « Pour nous c’est un marché important. Après les Etats-Unis, où nous réalisons 40 % de notre chiffre d’affaires, la zone Asie est clairement notre axe de développement ». Faut-il espérer des retombées économiques après la visite du président chinois à Nice? « Je crois qu’il ne faut pas s’attendre à des merveilles à court terme. Dans notre secteur de la parfumerie et des ar?mes, cela n’aura aucun impact. Mais je préfère évidemment qu’il s’intéresse à Sophia Antipolis plut?t qu’à Versailles ».
Des échanges d’étudiants
Tandis que Robertet re?oit de temps à autres à Grasse des Chinois qui viennent se former aux méthodes de l’entreprise, de jeunes Azuréens [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry sale[/url] font le chemin inverse : depuis deux ans, 200 étudiants de la Skema business School séjournent un semestre sur le campus de Suzhou, près de Shanghai. C’est la [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour.co.uk[/url] plus grande technopole du pays. « Ils y apprennent les méthodes de management, la culture et la civilisation chinoises et font 3 heures de mandarin par [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] semaine », explique un porte-parole de l’école de commerce. La présence de Skema – avec des étudiants en immersion et qui, souvent, poursuivent par des stages en entreprises – apporte une bonne visibilité pour les entreprises azuréennes. L’école projette aussi de recevoir des étudiants chinois sur son site de Sophia Antipolis, [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] où elle offre une formation ciblée [url=http://www.fibmilano.it]woolrich[/url] sur les produits de luxe.
Sa voisine, l’?cole des Mines ParisTech, est également présente en Chine.
Un cyclotron sino-ni?ois
Outil de recherche fondamentale au XXe siècle, l’accélérateur de particules Cyclotron est entré en phase d’application. Au Centre Antoine-Lacassagne de Nice, cet appareil est utilisé dans un but médical. Pierre Mandrillon est le responsable du laboratoire : « Les Chinois se sont rapprochés de nous en 2005. Ils sont entrés dans le capital de notre société à [url=http://www.mlxjy.com/hdzx/E_GuestBook.asp]barbour.co[/url] un moment critique, alors que nous manquions de financement pour un nouveau prototype. » Depuis, tout se passe bien avec les associés asiatiques. « Cette technique nouvelle les intéresse. Si tout se passe bien, si nous réussissons à reproduire pour la Chine l’appareil dont ils ont besoin, on peut penser qu’il se construira pour moitié là-bas et pour moitié en France. Ce sera du travail pour les entreprises azuréennes de petite mécanique de précision et d’informatique », pronostique le scientifique. « La Chine ne sera pas toujours l’atelier du monde. Elle s’ouvre sur sa demande intérieure. Les besoins sont considérables. La France a un r?le important à jouer. »