Energizing Tournament

htws9c9l

Que s'est-il donc passé avec , femme de chambre, dans la [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] suite 2806 du Sofitel ? M. Strauss-Kahn a répondu par la négative [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] : "Ce qui s'est passé ne comprend ni violence, ni contrainte, ni agression". Et cette très brève relation, [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] sa "faute", n'a pas été tarifée, assure-t-il.
Il a réussi à ne jamais les mots "sexe", "agression", "viol". Les larmes aux yeux, il a fait une promesse : "Cette légèreté (vis-à-vis des femmes), je [url=http://www.aqua-story.com/cgi/treasurehunter/joyful/joyful.cgi]louboutin Fusillade à Paris [/url] l'ai perdue. Pour toujours." Il a évacué en une phrase l'affaire Tristane Banon. Il a achevé sa prestation sur une démonstration brillante de économique en exhortant les pays européens à la dette de la .
M. Strauss-Kahn a évité ces considérations en répliquant par l'offensive. "Piège". "Complot". Deux autres mots-clé destinés à les esprits. Ses avocats l'avaient déjà laissé . L'ancien ministre des se fait désormais mena?ant. [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] "Un piège, c'est possible. Un complot, nous verrons..." Dans un premier temps, ce sont le Sofitel et le groupe fran?ais Accor qui sont clairement mis en cause.
Bref, un tour de force. Sur TF1, dimanche 18 septembre, pour sa première intervention publique et plus de quatre mois après son arrestation à , a opté pour la "faute morale".
Ce rapport du procureur, Dominique Strauss-Kahn le brandit plusieurs fois devant Claire Chazal. La preuve, selon lui, de son innocence. "Le rapport du procureur dit quoi ? lance-t-il. Ce ne sont pas mes avocats qui le disent, ce n'est pas moi. Il dit : Nafissatou Diallo a menti sur tout, elle a menti sur les faits, elle a présenté tellement de versions différentes que je ne peux plus en un mot, elle a menti à chaque entretien."
"Exemple de zone d'ombre", [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] selon les termes de M. Strauss-Kahn, ce détail pointé par le procureur de New York lui-même, , dans sa requête en non-lieu : au cours d'une incise discrète, celui-ci note que l'enregistrement électronique des badges de la chambre a été transmis au bureau du procureur, "et aussi directement à l'avocat de la plaignante par quelqu'un d'extérieur à ce bureau". Traduction de M. Strauss-Kahn : au Sofitel, voire en plus haut lieu, on aurait cherché à son accusatrice. "Je me demande pourquoi on a voulu celle qui voulait m'accuser", note-t-il.
Ce résumé est pour le moins sélectif. La requête [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] en non-lieu [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie pas cher[/url] du procureur Vance n'exonère pas Dominique Strauss-Kahn. Il ne dit pas que "Nafissatou Diallo a menti sur tout", mais qu'elle a donné des versions contradictoires de ce qui s'était passé après 12 h 26, heure a laquelle elle a quitté la suite occupée par DSK. Il ne conclut pas qu'une agression sexuelle n'a pas eu lieu, mais que "les doutes sérieux sur la crédibilité de [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] la plaignante" ne permettent pas de se sur son témoignage.
L'agence de communication Euro RSCG, qui conseille M. Strauss-Kahn, a permis à la première cha?ne de télévision privée d' l'audimat en lui offrant la plus attendue des personnalités. L' a tous les ingrédients pour : politique, sexe, crime, mystère conjugal, sans la new-yorkaise, comme dans une série américaine.
Le Monde.fr a le plaisir de vous la lecture de cet article [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de [url=http://kaku.be-sp.com/pbbs/joyful.cgi?mode=res++++++++++++++++++++result]louboutin How To Build Your F[/url] tous les articles réservés du Monde.fr en
Il ne pouvait plus "l'imprudence", comme il l'avait fait lorsqu'il avait été mis en cause dans l'affaire de la MNEF ; il ne pouvait plus "l'erreur de jugement", comme il l'avait osé pour s' de sa relation sexuelle avec Piroska Nagy, cette économiste du Fonds monétaire [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] (FMI) dont il était le directeur général. Il ne pouvait pas un adjectif "abracadabrantesque", comme se l'était permis [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey outlet[/url] en d'autres temps le président Chirac. Il ne pouvait pas non plus se d' le président américain Bill Clinton, qui avait jugé "inappropriée" sa relation avec Monica Lewinsky. "Relation inappropriée, mais plus que ?a : une faute morale", a donc fini par l'ex-probable candidat socialiste à l'élection présidentielle.
Aux Etats-Unis, la cl?ture de la procédure pénale n'empêche pas la procédure civile. Or celle-ci obligera M. Strauss-Kahn à un et à répondre préalablement sous serment à des questions consignées par écrit. Un cauchemar. D'où l'issue tentante : négocier avec la plaignante. Autant un semi-aveu de culpabilité. M. Strauss-Kahn préfère : "Je n'ai pas l'intention de [url=http://bahamaslisted.com/blogs/13598/553673/woolrich-sito-ufficiale-d-ch-anc]woolrich Déchéance de nationalité une propos[/url] négocier."
la formule magique : un mot-clé capable d' le regret sans évoquer l'accusation de viol. Capable d' la réalité d'une relation sexuelle en évacuant toute connotation délictuelle. De la gravité des faits à la morale familiale, en éliminant toute agression présumée.
Tout en se disant "candidat à rien", il a laissé ouvertes les portes de son retour, fait son désir d'être "utile au bien public", sa disponibilité au service de l'. Tout en affirmant ne pas s'"immiscer dans les primaires", il a réussi à le contraire : et , son "amie" avec qui il a reconnu un "pacte".
Au bout de vingt-cinq minutes d'entretien face à , M. Strauss-Kahn, costume noir et visage grave, a eu ce geste étrange : il a fermé [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey sito ufficiale[/url] les yeux très longuement. La terrible épreuve de contrition publique, avidement regardée par 13 millions de téléspectateurs, était terminée.
Dès lors, deux questions restent entières : comment une relation de neuf minutes, non tarifée, entre un homme aisé et une femme de chambre peut-elle lieu sans une forme de contrainte ? La contrainte comporte-t-elle nécessairement des traces de violence physique ?