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"Il n'y a pas de malhonnêteté intellectuelle de ma part, ni de dissimulation. Je reconnais dix fois des emprunts au livre de Bill [url=http://www.tcn.ne.jp/~nanono/yybbs/yybbs.cgi]louboutin pas cher La révolut[/url] Bryson, qui n'étaient pas du tout cachés mais l'une des clés de ce roman, et je [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] rejette le terme de plagiat", se défend Joseph Macé-Scaron. "Avant, en littérature, quand il y avait un clin d'oeil, on applaudissait, aujourd'hui on tombe à bras raccourcis sur l'auteur (...). Et les emprunts, cela devient un crime, un blasphème", regrette-t-il.
"Pas de malhonnêteté intellectuelle"
"La littérature ne s'écrit pas ex nihilo, les auteurs se nourrissent les uns des autres et l'ont toujours fait. L'intertextualité, c'est un classique [url=http://bedecpaints.co.uk/forum/index.php?p=/discussion/45922/hollister-review-of-the-akiles-coilmac-m-plus-coil-binding-machine]hollister Review Of The Akiles CoilMac-M Plus Coil Binding Machine[/url] de la littérature, même si [url=http://www.xn--7iqt79af7aw63ebk0a.com/guestbook.asp]hollister[/url] je n'ai pas la prétention de me mettre à la hauteur des grands auteurs. Il y a par exemple chez Montaigne 400 passages empruntés à Plutarque...", relève-t-il. "Après, les gens vont dire? : 'Macé-Scaron égale PPDA' (accusé de plagiat dans sa biographie d'Ernest Hemingway), or ce n'est pas du tout la même chose", affirme l'auteur.
Macé-Scaron, p. 216 :
Macé-Scaron = [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] PPDA ?
Le journaliste et écrivain Joseph Macé-Scaron, directeur adjoint de l'hebdomadaire Marianne et directeur de l'honorable Magazine littéraire, est-il un plagiaire ?
Roman à clé, Ticket d'entrée fait voyager le lecteur dans le Paris homosexuel d'aujourd'hui. Il raconte l'histoire d'un directeur de la [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] rédaction écarté de son poste sur les pressions du nouveau propriétaire du journal et celles du pouvoir politique... L'auteur affirme avoir été "démissionné" [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] du Figaro pour des raisons semblables.
"Et c’est parti. Il s’avère enfin que le numéro de [url=http://www.hollisterhanesmorgan.co.uk]hollister[/url] série de mon ordinateur est gravé sur [url=http://www.hollisterhanesmorgan.co.uk]hollister uk[/url] une petite plaque [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] de métal vissée sur le fond de la grosse bo?te où il y a le tiroir à CD qui est si rigolo à ouvrir et fermer. Traitez-moi d’idéaliste passéiste si vous voulez, mais si moi j’avais à inscrire un numéro d’identification sur les ordinateurs que je produis, un numéro que mon client devrait me débiter à chaque fois qu’il veut entrer en contact avec moi, je ne pense pas que je le placerais à un endroit qui exige d’appeler le voisin pour déménager le bureau à chaque demande de renseignements."
"Je [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler/‎]doudoune moncler[/url] prends habituellement en notes sur un cahier des éléments que je lis, qui me semblent intéressants ou dr?les. A l'origine, je ne pensais pas me servir de ces extraits", affirme-t-il. Puis, "je pensais les retravailler plus tard (...). J'ai dit dans mon livre que je me suis inspiré de cet auteur, je l'ai d'ailleurs cité", se défend le journaliste de 53 ans, qui avait re?u en juin le Prix de la Coupole pour ce roman très bien accueilli par la critique. Il admet cependant qu'il aurait d? "indiquer la provenance de ces extraits".
L'information lundi par le site Acrimed, consacré à la critique des médias, qui s'était livré à un savoureux exercice de littérature [url=http://www.achbanker.com/homes.php]www.achbanker.com/homes.php[/url] comparée à travers quatre extraits. Exemple :
"Et c’était reparti. Il s’avéra enfin que le numéro de série de mon ordinateur était gravé sur une petite plaque de métal vissée derrière la grosse [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] bo?te où il y avait mon ordinateur. J’étais peut-être un nouveau réac, mais si j’avais eu à inscrire un numéro d’identification sur les ordinateurs que je produisais, un numéro que le client aurait d? débiter à chaque fois qu’il entrait en contact avec moi, je ne pense pas que je l’aurais placé à un endroit qui exigeait d’appeler des collègues pour déménager le bureau à chaque demande de renseignements."
Le chroniqueur multicartes (RTL, iTélé, "Le Grand journal" sur Canal+) dont le roman Ticket d'entrée, [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] publié au printemps 2011 chez Grasset, a déclenché l'enthousiasme de la critique, a reconnu lundi avoir "emprunté" des extraits du livre d'un auteur américain. Le romancier a admis sur (sur [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] abonnement)?avoir repris des extraits du livre de Bill Bryson, paru en France sous le titre American rigolos : chroniques d'un grand pays (2003, Payot et Rivages) : "C'est une connerie !" résume-t-il, tout en récusant le terme de plagiat.
Bill Bryson, p. 14 :