Energizing Tournament

beioiog4l0c

Fixation des prix
Sanofi-Aventis court-il le risque d'un échec scientifique et financier d'une ampleur équivalente à celui de l'Acomplia ? [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] Cette pilule anti-obésité est mort-née après que les autorités sanitaires d' et des Etats-Unis ont, en [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] 2007, jugé son accès au marché trop risqué pour les patients.
Pfizer en a tiré les conséquences et a fermé sa section recherche en cardiologie au niveau mondial. D'autres ont fait de même en gastro-entérologie.
En Grande-, la valeur thérapeutique a été jugée faible. En France, si le Multaq se voit reconna?tre un service médical rendu (SMR) "modéré" et si l'amélioration du service médical rendu (ASMR) est notée V (la note la plus basse), le Comité économique des produits de santé (CEPS), qui se prononce ensuite, n'aura [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] d'autre choix [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] que de lui un taux de remboursement de 35 %. Et [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] un prix de vente qui pourrait se à un niveau inférieur à celui de son concurrent, le Cordarone, un générique issu de la recherche de Sanofi-Aventis. Le jugement négatif des Britanniques - et peut-être des Fran?ais - se justifierait par les résultats de Dionysos. Cette étude comparative, menée en 2008, ne démontrait pas une réelle efficacité du Multaq par rapport au Cordarone.
un avis avant l'inscription d'un médicament sur la liste des produits remboursables, comme l'annonce La Tribune du lundi 22 mars ? [url=http://www.e-hp.info/america/bbs/america.cgi?res=481]barbour The Truth About The P[/url] La é de santé (HAS), dont dépend [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] cette commission, et Sanofi-Aventis ont déclaré, lundi, qu'aucun avis définitif n'avait été rendu sur le Multaq.
Ce traitement contre la fibrillation - une déficience du [url=http://ytnsk.com/a/shidabocaigongsi/20130914/405.html]barbour paris Le Monde 2 Révélations sur Guy[/url] rythme de la partie haute du coeur très handicapante - a été présenté en 2008, à l'issue de l'étude Athena, comme une avancée spectaculaire [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] dans un domaine thérapeutique où aucune molécule innovante n'avait vu le jour depuis vingt ans. Menée contre placebo (produit sans principe actif) sur 4 600 patients, Athena avait [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] prouvé que sur "les 900 hospitalisations ou décès attendus, 200 avaient pu être évités gr?ce au Multaq", indiquait , vice-président de Sanofi-Aventis, en [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister france[/url] mai 2008.
En 2008, affirme le G5, trois ASMR de niveau III ont été attribuées par cette instance pour de nouveaux produits ou des produits améliorés, contre vingt en 2007 et dix-neuf en 2006. "La baisse des bonnes ASMR (I, II, III) a été de 70 %. Tandis que le nombre d'ASMR de niveau IV a augmenté de 33 %", constate le G5. La Haute Autorité de santé rendra son bilan 2009 dans quelques jours.
Le Multaq bénéficie d'une autorisation de mise sur le marché en Europe et aux Etats-Unis. Il est déjà dans les pharmacies outre-Atlantique, en et au . Le laboratoire continue de le dossier du médicament aux autorités sanitaires de chaque pays membre de l' [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie pas cher[/url] pour un prix de vente et un taux de remboursement par l'assurance-maladie.
Les analystes financiers estimaient alors que le Multaq permettrait au groupe d'espérer un chiffre d'affaires mondial de 1,4 à 2 milliards d'euros par an. "Pour la France, nos estimations tournent autour de 150 millions d'euros par an", affirme Béatrice Muzard, analyste chez CDC Ixis.
Début 2010, le LIR (laboratoires internationaux de recherche), qui regroupe les principaux pharmaciens européens, américains et japonais, enfon?ait le clou en indiquant que, sur les courantes, "tous les laboratoires re?oivent aujourd'hui le message que les références pour la fixation des prix sont des médicaments très anciens et leurs génériques, donc à des prix trop bas pour rémunérer la recherche et développement [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] des nouveaux traitements". En d'autres termes, ajoutait-il, dans tous les pays, "les pouvoirs publics font le message que les déficits de l'assurance-maladie ne permettent plus de rémunérer des produits nouveaux, dont la valeur appara?t marginale par rapport à l'existant".
Sur [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] le Web : .
L'"affaire Multaq", pour autant qu'elle mérite ce nom, illustre le malaise croissant entre les laboratoires et les autorités sanitaires fran?aises. En juillet 2009, le blog du G5, association regroupant les cinq principaux laboratoires fran?ais (Sanofi-Aventis, Fabre, Servier, LFB et Ipsen), affirmait que l'on "assiste actuellement à une augmentation du niveau d'exigence des avis émis par la Commission [url=http://y.zy357.com/guestbook.asp?guestid=]nike air j[/url] de la transparence".